+Hello !!
Ma nouvelle exposition "behind the hero" sera visible ce 1 er juillet à Barcelone, et ce jusque fin aout !
Pour ce faire, je vous ai préparé une succession de peintures sur le thème des "visages multiples" ou "masques";
Habitants du monde modèrne,
Il faut parfois savoir se cacher pour mieux survivre au quotidien...
Je serais la, mais pas seul, puisque accompagné du magazine Blair, que vous connaissez surement déjà !!
Nous allons organiser avec le mag, une distribution de certains numéros aux gens qui serons présent lors de la soirée d'ouverture.
Sans oublier la présence fantomatique de Kenji Chai, avec qui j'ai réalisé cette peinture de rue sur 5 m de long et toile,
lors de la foire du design de Kuala Lumpur.
Work in progress avec Kenji dans les rues de KL…
"Game Over" : 2010 Numeric version. (Available on Canvas 100X60, Gold, Red, Black & White Acryl and Spray Can)"
...Après ces débuts en Malaisie lors de la foire du design (voir post précédents) "behind the hero" sera donc présent sous une forme modifié, puisqu'agémentée de nouvelles peintures, et d'une sélection de travaux différentes.
Pour cette édition, Trois séries de 2 Tee shirt limités serons vendu à Barcelone,
Une "spéciale" pour les filles, un brin mélancolique "sadness" un "T" 2 colour serigraphié.
Et un autre, basé sur le visuel officiel de l'exposition, disponible pour filles et Garcons.
"T-shirt For Girl "Sadness" Serigraphy 2 colors."
Version officielle, filles et garcons.
Trop motivé de vous y voir nombreux !!
Pour les autres,
j'espere organiser l'exposition aussi vite que possible sur le sol Belge !!
Olivier, Hero
http://www.designhero.tv
http://www.blairmagazine.be
http://todayisblackfryday.blogspot.com/
>>>Pour ceux désireux d'en savoir +
Une petite nouvelle écrite sur le thème de l'exposition "Behind The Hero" :
Sur la scène du théatre il y avait toute cette fanfare habituelle d’acteurs,
un maquilleur s’affère à peindre les mains,
les pieds et tout ces bouts de chairs qui dépassent ça et la des costumes si bien taillés.
Le metteur en scène, lui, surplombe l’ensemble, le corps tranché en deux par l’obscurité.
Il met ses bras tout au bout de son corps, en direction de l’amas actif en face de lui.
Il dessine un carré avec ses doigts pour planter le cadre. “Parfait ! parfait !” Il s’écrie il jubile.
Il transpire.
On peut même sentir la moiteur de son être embaumer complètement la pièce.
Le maquilleur se jette alors hors de l’ensemble, et l’on découvre les masques.
Vu de l’extérieur, c’est comme si tout le vieux Venise s’était donné rendez vous.
Les acteurs gloussent, s’esclaffent, se pavanent et se déplacent comme des pantins désarticulés.
Une petite brume épaisse lèche le sol et rend la chose encore un peu plus sordide.
Les costumes sont soyeux, les matériaux nobles, hyper travaillés voir mystérieux.
On distingue les femmes des hommes de part leurs chevelures ou leurs postures.
Pour le reste les habits sont presque identiques, et étreignent leurs corps jusqu’au plus près.
Tout cela semble bien grotesque, comme une troupe en débandade ou des marins débauchés.
Et pourtant, le metteur en scène, tel un marionnettiste, articule ses avatars avec précisions;
Comme un chirurgien sectionnant la chair avec raison.
Puis, d’abord lentement, les pas s’accélèrent; Presque innocemment,
mais quelques éléments du décors trahissent l’ascension qui suit son cours.
Un cercle, ou plutôt un ovale se trace au sol;
C’est la fumée qui s’écarte poussée par les mouvements de la troupe.
C’est le plâtre qui par amas, se dérobe et s’arrache des plafonds.
C’est le bois du sol qui couine et balance sous le poids des comédiens.
Ce sont finalement les masques eux même qui semblent se lézarder.
Le metteur en scène lui, à moitié lumière, à moitié nuit,
Épouse les gestes, traits après traits de cette usine à gaz déchainée.
Épileptique, son corps n’est plus qu’ondes et vibrations.
Il résonne avec toute la scène et devient oscillation.
Ensuite tout s’enchaine comme le clic d’une mécanique.
Toute la pièce se met à vibrer, entrainant avec elle jusqu’à l’électricité !
La lumière se fait stroboscopique et le tout mue comme les battements d’un essaim vengeur.
Les lumières implosent, le bois se fracasse, des moulures se décrochent et tombent sur la tribu.
D’abords comme un éclat, puis presque comme un rire…
La lumière n’est déjà plus la. L’on ne peut que deviner ce qui de la scène vient de succéder.
——————-
Il fait noir, il est un peu tard; Je me relis et m’aperçois que je n’ai encore rien écrit.
Spanish Version =
En el escenario del teatro había toda la fanfarria habitual de actores.
Un maquillador se atarea pintando las manos, los pies y todos los trozos de carne que
sobrepasan de los trajes tan bien cortados.
El director, voladiza por lo alto, el cuerpo cortado en dos por la oscuridad.
Se puso los brazos a lo loargo del cuerpo, hacia el clúster activo frente a él.
Dibuja un cuadrado con los dedos para poner cuadro. "¡Perfecto! perfecto! ",
exclamó ,entusiasmado. Transpira.
Se puede incluso oler la humedad de su ser desprender por completo la sala.
.
El maquillador se arrojó del grupo, y descubrimos las máscaras.
Desde el exterior, es como si todo los viejos enmascarados de Venecia tenian cita.
Los actores ríen ahogadamente, se parten de risa, se pavonean, se mueven como
títeres desarticulados.
Una vaporosa y espesa niebla lame el suelo y la escena es aún más sórdida
.
Los trajes son sedosos,con hilos de oro y plata, artesanales, misteriosos.
Se distingue las mujeres de los hombres por sus cabelleras o sus posturas.
Las ropas son casi idénticas, asedian los cuerpo como una secunda piel.
Todo esto es ridículo, como una desbandada de marineros libertinos.
Sin embargo, el director, como un titiritero, articula sus avatares con precision ;
Como un cirujano cortando carne con razones.
Entonces, lentamente, con ingenuidad al principio, se aceleran los pasos,
algunos elementos del decorado traicionan el ascenso continúo.
Un círculo, o más bien una pista oval se dibuja sobre el escenario;
Es el humo que se aparta con los movimientos de la troupe.
Es el yeso que se desgarra del techo.
Es la madera del escenario que rechina y balancea con el peso de los actores.
Al final, las propias máscaras, se agrietan.
El director, mitad luz, mitad sombra
se adapta a los gestos, de esta planta de gas incontrolable.
Epiléptico, su cuerpo es sólo ondas y vibraciónes.
Resuena con toda la escena y se convierte en oscilaciónes.
Entonces todo se acelera como el clic de un mecánismo.
Toda la obra se pone a vibrar, arrastrando con ella hasta la electricidad!
La luz se hace estroboscópica y todo se muda como los latidos de un enjambre
vengativo.
Implosion de luces, la madera se estrella, molduras se desprenden y caen sobre la
tribu.
Parecia resplandor pero eran carcajadas ...
La luz se apago. Solo se puede adevinar lo que sucedio desde el escenario.
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Es de noche, es tarde, quiero releerme pero todavia no he escrito nada !
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